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Plafonds froids et introduction d'air laminaire

Dès le milieu des années 1980, on a pu observer une tendance à l'augmentation des charges thermiques internes dans les bâtiments administratifs, principalement due à l'arrivée de l'informatique et de la bureautique. Cet accroissement de charges a finalement atteint un record de 100 W/...

Descripción completa

Detalles Bibliográficos
Autor principal: Pepinster, P
Lenguaje:fre
Publicado: 1998
Materias:
Acceso en línea:http://cds.cern.ch/record/357587
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description Dès le milieu des années 1980, on a pu observer une tendance à l'augmentation des charges thermiques internes dans les bâtiments administratifs, principalement due à l'arrivée de l'informatique et de la bureautique. Cet accroissement de charges a finalement atteint un record de 100 W/m2 fin des années 80 pour se stabiliser en règle générale entre 50 et 70 W/m2. Traditionnellement, c'est le renouvellement d'air refroidi et insufflé dans les locaux qui combat les apports calorifiques, et le débit d'air pulsé est proportionnel aux charges à évacuer. Cette augmentation des charges a donc généré des vitesses de circulation d'air résiduelles insatisfaisantes pour le confort des occupants, et les ingénieurs en climatisation ont dû revoir la technologie appliquée jusqu'alors. Ce document présente les techniques actuelles qui permettent de satisfaire à l'exigence d'absence de courant d'air aux places de travail, et ainsi assurer le bien-être humain dans le domaine climatique.
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institution Organización Europea para la Investigación Nuclear
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